» Où s’asseoir quand tout nous porte à marcher en pressant le pas, serrer son sac et droit devant rentrer chez soi le plus vite possible ? Où penser ? Où rêver ? Les oloé , ce seraient ces endroits où lire ? où écrire ? »
» S’en emparer, de ces lieux conçus on ne sait plus pourquoi… »
» aller chercher partout ce qu’on pourrait devenir hors formulaire. »
» désirer quoi ? tendre la main «
» Dans l’oloé on cherchera à rester libre, assis, couché, debout, même sur le flanc. »
» N’être d’aucune utilité ; ne rien faire de tangible, de quantifiable, de racontable et s’en réjouir, instants électriques de l’errance. «
» S’asseoir dans des wagons, dans des salles d’attente, sur les bancs des jardins publics, dans des cafés et restaurants. «
» Ne jamais avoir à se justifier «
.
La suite de cette balade subjective est sur le site de ceux qui pensent être immatériels.
Silence
2 réflexions sur “Balade dans les Oloé d’Anne Savelli”