Balade dans les Oloé d’Anne Savelli

 » Où s’asseoir quand tout nous porte à marcher en pressant le pas, serrer son sac et droit devant rentrer chez soi le plus vite possible  ? Où penser ? Où rêver ? Les oloé , ce seraient ces endroits où lire ? où écrire ?  » 

 » S’en emparer, de ces lieux conçus on ne sait plus pourquoi… »

  » aller chercher partout ce qu’on pourrait devenir hors formulaire. »

 » désirer quoi ? tendre la main « 

 » Dans l’oloé on cherchera à rester libre, assis, couché, debout, même sur le flanc. »

 » N’être d’aucune utilité ; ne rien faire de tangible, de quantifiable, de racontable et s’en réjouir, instants électriques de l’errance. « 

 » S’asseoir dans des wagons, dans des salles d’attente, sur les bancs des jardins publics, dans des cafés et restaurants. « 

 » Ne jamais avoir à se justifier « 

.

La suite de cette balade subjective est sur le site de ceux qui pensent être immatériels.

Silence

 

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