Peut être ou peut pas… (Ombres, cent ombres #1)

La création n’a pas de limites : aussi vaste que l’univers. Y a t-il quelque chose de plus infini que l’univers ?

La nature est sans impatience, sans impatience et sans progrès, une adaptation permanente.

Le temps est un concept variable selon l’endroit où l’on se trouve dans l’univers. Ici, quatre saisons rythment le passage du temps ; ailleurs, deux ; au pays du soleil levant, jusqu’à 72 saisons. Mais dans une autre galaxie, qui peut savoir ? Une a-pesanteur du temps m’attire…

Une idée paradoxale déposée ici : la liberté n’est pas dans le mouvement mais dans l’immobilité. Ce qui est un choix. Ne pas s’agiter par contraintes. Comprendre est peut-être le seul verbe d’action immobile et qui ne s’use jamais.

Notre imagination a besoin d’immobilité pour être sans impatience. Dire le tout du monde reste une utopie. Un simple brin d’herbe est un univers et dépasse mon entendement.

Silence / ombres, cent ombres, #1

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