L’inessentiel est le sel de la vie, un inattendu désiré. Le soir, dans nos cabanes, nous rêvons. Au ruisseau qui flirte entre deux arbres.
Quelques cymbales feutrées marquent le rythme intérieur. Une musique envoutante et entrainante attrape le flambeau du réel. Une flamme a besoin d’oxygène pour vivre.
Notre joie intérieure ne peut s’éteindre. L’oubli, nécessaire à notre mémoire nous étreint. Nous n’avons pas besoin d’idoles pour être heureux.
Seulement de beauté.
Silence / fragments de la fin du monde, #21