» Ce lieu n’existe que d’être traversé… »

2013-11-09 13.51.36.

« Combien de fois mourir de son vivant, quelle place faire à la mort en soi pour écrire ? Quelque chose se termine. Voilà ce qu’il m’est possible de dire sans trahir ma méditation devant la ville ni le sentiment diffus d’une autre réalité tout aussi présente à cet instant que je ne peux qualifier qu’en termes d’oubli et d’enfouissement. Quelque chose se termine… […]

Il existe un lieu qui détruit les histoires. Ce n’est pas qu’il soit opposé ou seulement indifférent à la parole. Il la produit au contraire, et la détruit dans un même mouvement. Ce lieu n’existe que d’être traversé.« 

Parfois, vous ouvrez un livre au hasard… dans la bibliothèque ou dans une librairie… et quelques phrases suffisent pour suspendre le temps… ou vous inviter à en lire plus… tels ces deux passages extraits de Béton armé de Philippe Rahmy (La Table ronde, 2013).

Pour en savoir plus, lire l’entretien que l’auteur a donné à Sabine Huynh pour le site Terre à ciel. Ainsi que son site. Lire vaut mieux que de longs discours… Parfois…

Silence.

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